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CONCLUSION

          En définitive, l'Homme, qui avait pour but de se réparer, est parvenu à s'augmenter. Cette avancée scientifique considérable a été rendue possible par de nombreuses étapes intermédiaires mais surtout par les nombreux progrès technologiques et la meilleure connaissance du fonctionnement du corps humain au fil du temps. De cette façon, les premières prothèses ont bel et bien dessiné les prothèses d'aujourd'hui, de même que ces dernières esquissent d'ors et déjà les prothèses de demain. De nombreuses sciences, comme la bionique, ont favorisé cette progression.

 

          Aujourd'hui, il existe toutes sortes de prothèses (myoélectriques, neuroélectriques,…), qui élargissent considérablement les possibilités futures, de par leurs capacités nettement supérieures aux membres naturels. De ces possibilités résultent le mouvement émergent Transhumaniste, qui promeut l'amélioration de la vie via l'utilisation des technologies nouvelles, l’élimination du vieillissement et l’augmentation des capacités humaines au niveau intellectuel, psychologique ou physique. Dès lors, les prothèses n'ont plus pour but de réparer l'Homme mais de l'augmenter.

          Les progrès techniques permettent donc à l'Homme de créer des prothèses de plus en plus performantes et autonomes.

 

      

    Les connaissances scientifiques permettent à l’Homme  de se rapprocher de jour en jour de l'Homme cyborg. Néanmoins, le transhumanisme créera sans aucun doute de réels soucis d'éthiques.  

 On peut alors se demander quelles seront les limites de ce projet (si l’on considère qu’il y en aura), et quelles en seront les conséquences.

 

Toute cette ambition dans la volonté de créer un nouvel Homme entraînera-t-elle l’amélioration de la condition humaine… ou bien la perte de l’humanité ?

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